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dimanche 27 novembre 2011

Comme au Cinéma #4


Voici donc la suite de Before Sunrise don je vous ai parlé ici. Céline et Jesse se retrouvent 9 ans plus tard à Paris. Le temps de quelques heures, ils vont retrouver la complicité qui s'était liée à Vienne, se raconter leurs vies, leurs espoirs, leurs tristesses. Ce film est tout simplement un vrai bijou. Revoir cette douce complicité entre les deux personnages, retrouver leurs mimiques mais aussi découvrir leurs évolutions... Un pur moment de bonheur. Et la fin... Sans vous spoiler la chose, j'admire sa délicatesse. Oui, ce filme est délicat d'un bout à l'autre. Je ne peux que vous encourager à le regarder tellement j'en suis ressortie enchantée.




C'est l'histoire de quatre enfants surnommés December boys à cause de leur mois de naissance. Orphelins, ils rêvent de trouver une famille qui les adoptera. Envoyés en vacances à la mer dans une famille d'accueil, ils rencontrent leurs voisins qui cherchent justement à adopter. Oui mais un seul enfant sera l'heureux élu. Malgré le fort lien fraternel qui les unis, trois des quatre orphelins entre en compétition pour s'attirer chacun, les faveurs du couple. De son côté, le plus âgé (Daniel Radcliffe) fait la découverte du sentiment amoureux. J'ai bien aimé le film mais n'ai pas pu apprécier l'histoire à sa juste valeur du fait de l'accent à couper au couteau qui mange la moitié des mots! (non, je n'avais pas les sous-titres) Cependant l'histoire est très intéressante et le lien qui unit les December boys est touchant. Mention spéciale à Daniel Radcliffe, troublant de justesse dans son rôle. Il m'a beaucoup émue.


La famille Jones (titre français du film) s'installe dans une ville américaine, au coeur d'un quartier résidentiel friqué. Kate, Steve, Jill et Nick forment la famille parfaite avec une vie de rêve que tous leurs nouveaux voisins n'ont de cesse de copier. Et ça tombe bien car les Jones ne sont pas une famille, mais des employés d'un société de marketing dont le but est de faire acheter aux gens qu'ils côtoient les mêmes affaires que celles qu'ils possèdent, cela allant de la tondeuse à gazon à la crème anti-rides. Voilà un film qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais dont le thème m'a beaucoup tentée. J'étais très curieuse de voir ce concept de fausse famille marketée en action. Bon, qu'on se mette d'accord, l'histoire n'est pas mémorable, mais en bon public que je suis, j'ai passé un moment sympathique. Pas plus.


S'il y a bien un film où l'omniprésence de sexe ne fait pas du tout porno mais est au contraire super drôle et nécessaire, c'est celui-ci. On en vient même à réfléchir avec quel pote est-ce qu'on pourrait bien mettre en place ce système nous aussi, tellement ça a l'air d'être l'éclate. Et puis, Mila Kunis et Justin Timberlake sont parfaits. Je découvre ce dernier entant qu'acteur, et je suis agréablement surprise. Il est très à l'aise, drôle, juste, attachant. Pas mièvre pour un sous et ce jusqu'à la fin, c'est un excellent film bien distrayant. Il ne me reste donc plus qu'à regarder (enfin) The Social Network pour voir notre chanteur dans un autre registre, puis par la suite Time Out, film dans lequel il joue aux côtés d'Amanda Seyfried.





À l'instar du film Toast, Away We Go me laisse perplexe. Pourtant, j'ai bien aimé l'idée que des parents en devenir réalisent au gré de leurs rencontrent avec des parents établis, à quel point la vie qu'ils mènent et l'amour qu'ils se portent sont ce qui leur permettra de fonder le foyer qu'ils désirent. Le message délivré ici est que chaque personne appréhende la vie selon sa propre sensibilité ainsi qu'en composant avec les aléas qui jalonnent une existence. Voilà donc un beau message. Pourquoi être perplexe, alors? J'avoue ne pas trop savoir, mais je pense que c'est le scénario en lui-même qui ne pas plu. Voir toutes ces familles avec leurs problèmes, leurs façons si "spéciales" d'élever leurs enfants... J'ai été plus mal à l'aise que remplie d'espoir à la fin du film. Vraiment dommage.



Photos venant de Google Images
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3 commentaires:

  1. je suis d'accord avec toi pour Friends with benefits. C'est dommage qu'il est reçu autant de critique juste parce qu'il est sorti après Sex Friends, qui était sur le même sujet mais bien moins cool !!

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  2. @ Lily c'est vrai que les deux qui sortent à la suite, ce n'est pas terrible pour l'objectivité des critiques. Cependant, je n'ai pas encore vu Sex Friends (c'est mon prochain dans la liste ;-)) mais effectivement, d'après ce que j'ai pu en lire, c'est quand même plus soft.
    À voir, donc!

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  3. je les ai vu dans l'ordre de sortie, et c'est effectivement plus soft, mais aussi moins drôle et plus gnangnan...

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